Commission
de l'Intérieur, des Affaires générales et de la Fonction publique |
Commissie voor de Binnenlandse Zaken, de Algemene Zaken
en het Openbaar Ambt |
du Mercredi 9 janvier 2013 Matin ______ |
van Woensdag 9 januari 2013 Voormiddag ______ |
De behandeling van de vragen en interpellaties vangt aan om 13.09 uur. De vergadering wordt voorgezeten door de heer Siegfried Bracke.
Le développement des questions et interpellations commence à 13.09 heures. La réunion est présidée par M. Siegfried Bracke.
01 Vraag van mevrouw Bercy Slegers aan de staatssecretaris voor Ambtenarenzaken en Modernisering van de Openbare Diensten, toegevoegd aan de minister van Financiën en Duurzame Ontwikkeling, belast met Ambtenarenzaken, over "Fedoclean" (nr. 14198)
01 Question de Mme Bercy Slegers au secrétaire d'État à la Fonction publique et à la Modernisation des Services publics, adjoint au ministre des Finances et du Développement durable, chargé de la Fonction publique, sur "Fedoclean" (n° 14198)
01.01 Bercy Slegers (CD&V): Mijnheer Bogaert, ik houd het bij een korte vraag gezien het gevorderde uur. De Ministerraad van 22 oktober 2012 besliste een dienst Fedoclean op te richten. U hebt hier ook in uw beleidsnota kort naar verwezen.
Ik had hierbij evenwel nog enkele vragen. Hoe ziet u dit in de praktijk functioneren op de werkvloer? Ziet u dit als een aparte organisatiestructuur of als een dienst die zelf poetsservices aanbiedt aan de federale overheid en eventueel andere overheden?
U begint met de gebouwen in Brussel, maar wanneer is er een evaluatie gepland van de oprichting van deze dienst?
Betekent de oprichting van deze dienst een besparing voor de federale overheid en, zo ja, hoe groot is die besparing?
01.02 Staatssecretaris Hendrik Bogaert: Mijnheer de voorzitter, mevrouw Slegers, in antwoord op uw vraag heb ik de eer u het hiernavolgende te melden.
De Ministerraad van 22 oktober 2012 heeft zijn goedkeuring gegeven aan een aantal werking- en organisatieprincipes met het oog op het realiseren van een businessplan voor een administratieve dienst met boekhoudkundige autonomie of ADBA, afgekort Fedoclean, tegen januari 2013.
Ook moet de Optifedcel samen met de projectleider, de heer Peter Samyn, die in november 2012 is aangeduid, en de drie colleges van leidende ambtenaren tegen eind januari 2013 een groeipad vastleggen van de aan Fedoclean deelnemende diensten.
Het is dus pas op basis van voormeld businessplan dat de Ministerraad een definitieve beslissing zal nemen over het effectief oprichten van de genoemde ADBA en over de vraag aan welke federale overheidsdienst de ADBA eventueel zal worden aangehecht.
Ikzelf pleit ter zake voor een aanhechting aan de FOD Personeel & Organisatie. Het zal voor de FOD P&O een mooi project zijn.
Uw vragen zijn vroeg, wat u siert, zowel op het vlak van de oprichting van de ADBA als op het vlak van de details van een business case die in grote lijnen de opportuniteit inzake kosten en baten zal beschrijven en geen detailuitwerking van de procedures en werkprocessen is.
01.03 Bercy Slegers (CD&V): Mijnheer de voorzitter, mijnheer de staatssecretaris, ik dank u.
Ik ben inderdaad vroeg. Het dossier heeft echter mijn aandacht getrokken, omdat het een goed voorstel is. Ik begrijp dat wij eind januari 2013 meer zullen weten. Ik zal het dossier nader opvolgen.
Het incident is gesloten.
02 Question de M. Bernard Clerfayt au secrétaire d'État à la Fonction publique et à la Modernisation des Services publics, adjoint au ministre des Finances et du Développement durable, chargé de la Fonction publique, sur "les conséquences de l'arrêt du Conseil d'État relatif aux exigences linguistiques pour les agents des services publics locaux bruxellois" (n° 14919)
02 Vraag van de heer Bernard Clerfayt aan de staatssecretaris voor Ambtenarenzaken en Modernisering van de Openbare Diensten, toegevoegd aan de minister van Financiën en Duurzame Ontwikkeling, belast met Ambtenarenzaken, over "de gevolgen van het arrest van de Raad van State met betrekking tot de taalvereisten voor personeelsleden van de Brusselse lokale overheidsdiensten" (nr. 14919)
02.01 Bernard Clerfayt (FDF): Monsieur le secrétaire d'État, je reviens à une question que je vous avais déjà posée dans le courant de l'année. Le Conseil d'État a annulé certains articles de l'arrêté royal fixant les conditions de délivrance des certificats de connaissance linguistique prévus à l'article 53 des lois sur l'emploi des langues en matière administrative. Cette annulation a entraîné l'interruption de l'organisation des examens, ce qui a généré une insécurité juridique en matière de réglementation linguistique en Région bruxelloise. Cela est nuisible à la bonne gouvernance des services publics locaux en Région bruxelloise.
C'est pourquoi il est essentiel de repenser sans attendre la réforme des examens de manière plus pragmatique dans le sens d'un bilinguisme des services. Dans cette optique, nous attendons depuis près d'un an un nouvel arrêté royal, qui respecte exactement les termes de la loi et n'impose pas des conditions de bilinguisme supplémentaires et excessives, ce qui avait fondé l'annulation par le Conseil d'État de l'arrêté royal. Par deux fois dans le passé, les arrêtés royaux d'application avaient prévu des conditions supplémentaires non fixées par la loi. Le Conseil d'État avait pour cette raison considéré ces arrêtés royaux comme excessifs et ne respectant pas la loi.
J'ai le sentiment que ce dossier n'avance pas. Les informations présentes sur le site du Selor renforcent encore mes craintes. En consultant ledit site, il y a quelques jours, j'y ai lu ceci: "Suite à une décision du Conseil d'État du 24 janvier 2012, l'article 9, § 1er, est annulé. Les tests concernant cet article (tant en connaissance élémentaire qu'en connaissance suffisante) ne seront donc plus organisés. Les inscriptions pour ces tests linguistiques sont suspendues".
Le Selor, qui pourrait continuer d'organiser des examens linguistiques même en l'absence d'arrêté royal, prend en otage le fonctionnement normal des administrations bruxelloises. Ces dernières ont des difficultés à présenter à la nomination des fonctionnaires en mesure de réussir les examens linguistiques.
Monsieur le secrétaire d'État, premièrement, confirmez-vous les informations disponibles sur le site du Selor? L'organisation des tests linguistiques est-elle toujours interrompue? Deuxièmement, le cas échéant, comptez-vous donner des instructions au Selor afin qu'il reprenne ou poursuive l'organisation de ces examens? Troisièmement, quand comptez-vous déposer sur la table du gouvernement un nouvel arrêté réglant cette question et mettant fin à l'insécurité juridique que nous connaissons actuellement?
02.02 Hendrik Bogaert, secrétaire d'État: Monsieur le président, j'ai l'honneur d'informer l'honorable membre de ce qui suit. L'information reprise sur le site du Selor est exacte. L'épreuve linguistique connue sous l'appellation "article 9, § 1er" a bien été annulée par le Conseil d'État. Le Selor ne peut donc plus organiser cet examen sous la forme décrite dans la réglementation existante. Cela ne concerne naturellement que cette seule épreuve, les autres continuant à être organisées.
Ensuite, j'ai préparé un projet d'arrêté royal afin de résoudre ce problème. Dès que j'aurai obtenu un accord et que l'arrêté aura été publié, cette épreuve linguistique pourra de nouveau être organisée.
Enfin, j'ai l'intention de discuter de ce dossier aussi vite que possible avec les partenaires gouvernementaux. J'ai donc accompli mon devoir. Il appartient maintenant aux autres membres du gouvernement de prendre une décision collégiale.
02.03 Bernard Clerfayt (FDF): Monsieur le secrétaire d'État, vous me confirmez donc – si j'ai bien compris – qu'il est possible pour les pouvoirs locaux d'envoyer des fonctionnaires à d'autres examens que ceux qui sont prévus par l'article 9, § 1er, et ensuite de prévoir leur nomination ou leur promotion sur la base de la réussite d'examens visés par d'autres articles de la même loi. Or il appartient à la tutelle des communes bruxelloises – à savoir, la Région de Bruxelles-Capitale – de vérifier la validité et la conformité des connaissances linguistiques, eu égard au dossier de chacun des candidats.
02.04 Hendrik Bogaert, secrétaire d'État: Je ne peux confirmer cette interprétation. Il ne serait pas légal de suivre cette voie. Nous avons besoin de cette épreuve linguistique. Je me réfère à ce que je viens de dire dans ma réponse.
L'incident est clos.
Het incident is gesloten.
La réunion publique de commission est levée à 13.17 heures.
De openbare commissievergadering wordt gesloten om 13.17 uur.