Commissie voor de Sociale
Zaken |
Commission des Affaires sociales |
van dinsdag 16 oktober 2007 Voormiddag ______ |
du mardi 16 octobre 2007 Matin ______ |
La séance
est ouverte à 10.01 heures et présidée par Mme Florence Reuter.
De
vergadering wordt geopend om 10.01 uur en voorgezeten door mevrouw
Florence Reuter.
01 Question de M. Georges Gilkinet au ministre des Affaires
sociales et de la Santé publique, chargé des Affaires européennes, sur "la
double tarification des soins de santé" (n° 13)
01 Vraag van de heer Georges Gilkinet aan de minister van Sociale Zaken
en Volksgezondheid, belast met Europese Zaken, over "de dubbele tarifering
in de gezondheidszorg" (nr. 13)
01.01 Georges Gilkinet (Ecolo-Groen!): Madame la
présidente, monsieur le ministre, la tarification des soins de santé est
strictement réglementée par l'INAMI par un éventuel conventionnement du
médecin. Néanmoins, des pratiques parallèles semblent exister.
En date du
26 septembre dernier, le journal "La Meuse" relatait le cas d'une
patiente du CHR de la Citadelle qui s'est vu proposer deux rendez-vous par le
même médecin: l'un était au tarif de base (21 euros) mais était prévu 9
mois plus tard, l'autre coûtait le double mais était planifié dans un délai de
2 mois. Bien entendu, le remboursement est le même dans les deux cas; c'est le
coût à charge du patient qui diffère.
Cette
pratique est courante, comme le confirme le directeur médical de cet hôpital,
et relève, selon ses dires, de l'utilisation d'un "tarif de
notoriété" pour des "rendez-vous personnalisés" incluant une
notion d'expertise et de notoriété, selon ses propres termes.
Il me semble
que cette notion est non seulement floue mais aussi en totale contradiction
avec la préoccupation, qui doit être la nôtre, de soins de santé de qualité et
équitables, accessibles à tous. Cette notion me semble constituer un glissement
préjudiciable de notre système de soins de santé vers une dualisation de la
qualité de soins en fonction des prix que les personnes sont prêtes ou sont
capables de payer.
Monsieur le
ministre, pouvez-vous me dire si les notions de "tarif de notoriété"
et de "rendez-vous personnalisés" qui, selon moi, sont absentes de la
législation, sont basées sur des définitions et des critères dont vous avez
connaissance?
Connaissez-vous
l'ampleur de l'utilisation de ce double tarif? Disposez-vous de statistiques à
ce sujet?
À vos yeux
et aux yeux de la loi, un même médecin donnant la même consultation dans un
même lieu peut-il faire légalement usage d'une tarification différenciée en
fonction du délai?
Enfin,
avez-vous déjà pris une initiative pour informer les patients de cet état de
fait et des alternatives qui s'offrent à eux?
01.02
Didier Donfut, ministre: Madame la présidente, je remercie l'honorable membre pour sa
question qui nous interpelle tous. En effet, nous avons été nombreux à lire la
presse écrite et à entendre les commentaires à la radio.
Ce dont vous
faites état dans votre question est un phénomène qui m'est connu et que je
qualifierais de choquant car l'émergence d'un délai d'attente constitue
effectivement un risque pour le maintien de l'indispensable sécurité tarifaire
au profit de l'assuré. Ceci étant dit, rien ne permet d'affirmer que ce
phénomène est en hausse à l'heure actuelle.
Il convient
d'abord de rappeler que tous les médecins ont droit, dans le respect des règles
de la déontologie, à des honoraires pour les prestations qu'ils ont fournies.
Les médecins fixent librement le montant de ceux-ci sans préjudice de
l'application des taux éventuellement fixés par ou en vertu d'une disposition
légale ou prévus par des statuts ou par des conventions auxquelles ils ont
adhéré.
Prévoir un
accord préalable liant l'honoraire à l'efficacité du traitement est également
interdit!
Ainsi, dans
ces limites, le médecin peut tenir compte de l'importance des prestations
fournies, de la situation économique du patient, de sa propre notoriété et
d'autres circonstances particulières éventuelles. Certaines exceptions à la
liberté d'honoraires pour tous les médecins existent comme, par exemple, les
tarifs AMI applicables dans un service de garde personnalisé.
Au sein de
la Commission nationale médico-mutualiste des accords sont négociés
paritairement entre les organismes assureurs et les représentants des médecins.
Les médecins sont alors libres d'accepter ou de refuser les termes de ceux-ci.
Les médecins ont également la possibilité de spécifier, en respectant des
conditions de temps et de lieu imposées par l'accord, pour quelle partie de
leur activité ils s'engagent à respecter les conditions de l'accord. On évoque
alors la notion d'engagement partiel.
En ce qui
concerne l'ampleur du phénomène, je suis en mesure de vous indiquer qu'à la
mi-septembre, seulement 1,27% des médecins généralistes avaient posé ce choix
pour 10,36% des médecins spécialistes. Ceci permet de relativiser la situation.
D'autant que le conventionnement partiel n'entraîne pas ipso facto des délais
de traitement aussi différenciés pour les patients. La majeure partie des
spécialistes hospitaliers sont conventionnés intégralement et appliquent de ce
fait un traitement égal à tous les patients.
Là où je
vous rejoins totalement, c'est sur la question de l'information des patients.
Celle-ci est
primordiale. Or je dois constater avec regret que de nombreux assurés ne
connaissent pas l'intégralité de leurs droits, ce qui n'est pas sans causer de
nombreuses incompréhensions lors de la tarification personnelle des
prestations. De nombreux efforts ont été entrepris sous cette législature en
collaboration avec les partenaires de la Commission nationale
médico-mutualiste.
Outre dans la salle d'attente ou dans un autre local de réception,
l'affichage est aussi prévu dans le local d'inscription de l'hôpital pour les
médecins hospitaliers. L'information indique que le médecin a adhéré à l'accord
ainsi que les jours et heures de consultation auxquels il applique les tarifs
de la convention.
Par ailleurs, le médecin partiellement conventionné
qui a omis d'informer son patient des jours et heures pour lesquels il n'a pas
adhéré aux accords, est supposé être conventionné pour ces jours et heures. Il
doit alors respecter les tarifs de la convention.
Enfin, il faut aussi rappeler qu'une exigence
particulière dans le chef du patient peut être de nature à faire porter en compte
des suppléments d'honoraires.
Les organismes assureurs ont l'obligation de tenir à
disposition des bénéficiaires des soins de santé, dans leur siège local,
régional ou national, un exemplaire de la liste actualisée des dispensateurs
(personnes et institutions) conventionnés ou non et de communiquer à certains
bénéficiaires, au moins une fois par an, un extrait de cette liste comportant
au moins, d'une part, le nom des personnes qui ont un centre d'activité dans la
commune du domicile du bénéficiaire ou dans les communes limitrophes et,
d'autre part, la dénomination des établissements hospitaliers situés dans
l'arrondissement administratif de la commune du bénéficiaire. Cette
communication peut s'effectuer soit par une remise ou un envoi individuel, soit
par une publication dans un périodique adressé aux bénéficiaires.
Dans
le même ordre d'idée, mon prédécesseur, Rudy Demotte, avait proposé l'idée de
rendre obligatoire l'information du patient sur le tarif appliqué lors de la
consultation dès la prise de rendez-vous. Cette proposition est toujours à
l'étude au sein de la Commission médico-mutualiste et se heurte à des problèmes
techniques. En effet, la plupart des rendez-vous continuent à être pris par
téléphone et la charge de la preuve, en cas de mauvaise information du patient,
est particulièrement difficile à établir. Je pense cependant que c'est la seule
formule qui permettra d'éviter toute forme de contestation quant à la
détermination du tarif proposé au patient.
En conclusion, il me semble évident que cette question de l'information
des patients doit continuer à être débattue au sein de la Commission
médico-mutualiste et faire l'objet d'une attention particulière dans le cadre
du prochain accord. J'interpellerai la Commission pour que celle-ci se penche
sur cette problématique en vue d'améliorer l'information des patients et
d'éviter que de tels phénomènes menacent la notion même de sécurité tarifaire
01.03
Georges Gilkinet (Ecolo-Groen!): Monsieur le ministre, je vous remercie pour vos
réponses.
Je note que,
tout comme moi, vous considérez que de telles pratiques sont choquantes. Elles
le sont d'autant plus que l'on utilise la difficulté d'être soigné dans des
délais relativement courts pour obtenir des tarifs plus élevés, tarifs qui sont
évidemment légaux dans le cadre d'un conventionnement partiel.
J'estime
également qu'une réflexion devrait être menée au sein de la Commission
médico-mutualiste et au sein du Parlement. Je ne manquerai pas d'y revenir.
L'incident
est clos.
- mevrouw Maggie De Block aan de minister van Sociale Zaken en
Volksgezondheid, belast met Europese Zaken, over "de resultaten van de
zachte echelonnering" (nr. 18)
- de heer Koen Bultinck aan de minister van Sociale Zaken en
Volksgezondheid, belast met Europese Zaken, over "de zachte
echelonnering" (nr. 61)
- Mme Maggie De Block au ministre des Affaires sociales
et de la Santé publique, chargé des Affaires européennes, sur "les
résultats de l'échelonnement modéré" (n° 18)
- M. Koen Bultinck au ministre des Affaires sociales et de la
Santé publique, chargé des Affaires européennes, sur "l'échelonnement
modéré" (n° 61)
02.01 Maggie De
Block (Open
Vld): Mijnheer de minister, alsnog welkom als nieuwe minister. Ik apprecieer
het dat u hier bent om onze vragen te beantwoorden.
Mijnheer
de minister, ik kom terug op de cijfers van de ziekenfondsen in verband met de
zachte echelonnering. Uit deze cijfers blijkt dat in de eerste zes maanden van
dit jaar minder dan een patiënt op honderd van zij die tussen februari en
augustus 2007 verwezen zijn naar de specialist een doorverwijsformulier voor
een lager remgeld van de huisarts bezat. Deze cijfers zijn verontrustend laag.
In het
verleden hebben we deze problematiek reeds ter sprake gebracht. Uw voorganger
antwoordde onder meer dat het ingeburgerd moest geraken. Hij meende ook dat nog
niet alle artsen over de bewuste formulieren beschikten.
Mijn
vraag is de volgende. Moet er niet opnieuw nagedacht worden over de organisatie
van het systeem? Moet de evaluatie niet een beetje vroeger gebeuren en moet
niet worden bijgestuurd om die eerste aanzet tot echelonnering een beetje
sneller ingeburgerd te doen geraken?
02.02 Koen Bultinck (Vlaams Belang): Mijnheer de minister,
sinds een half jaar kennen we het systeem van de zachte echelonnering. Eerder
is – en de anciens van deze commissie zullen dat weten – de hele problematiek
van de vrij zware administratieve last die met dat systeem gepaard gaat al aan
de orde geweest.
Nu blijkt
– die cijfers zijn gepubliceerd in de medische vakpers, mijnheer de minister –
dat die zachte echelonnering om het zacht uit te drukken niet echt een groot
succes is. Minder dan 1% van de patiënten kwam tussen februari en augustus 2007
bij de specialist met een doorverwijsformulier van de betrokken huisarts en had
op die manier recht op die enkele euros remgeldkorting waarin in het systeem
voorzien is.
Vandaar
dat het toch goed is een aantal concrete vragen te stellen.
Een cruciale vraag is natuurlijk altijd of u de cijfers van de
ziekenfondsen formeel kunt bevestigen of ontkennen. Is er binnen de organen van
de ziekteverzekering ondertussen reeds een evaluatie gemaakt van het systeem?
Wij zijn ondertussen zes maanden verder. Het zou niet slecht zijn dat we daar
zicht op krijgen. Zo ja, is de vraag uiteraard wat de conclusies zijn van de
evaluatie. Zo neen, is de vraag wanneer wij de evaluatie te zien zullen
krijgen. Laat u het over aan uw opvolger of is binnen de organen van het RIZIV
daartoe de eerste aanzet reeds gegeven?
02.03 Minister Didier Donfut: Mevrouw de voorzitter, mijnheer Bultinck, ik dank u voor uw vragen. Ik
wil eerst en vooral bevestigen dat ik wel degelijk kennis heb genomen van de
door u vermelde cijfers betreffende de toepassing van het systeem van zachte
echelonnering. De regeling zoals ze momenteel bestaat, is vastgelegd in het
koninklijk besluit van 26 november 2006 dat gepubliceerd werd in het
Belgisch Staatsblad van 15 december 2006. Ze is van kracht sinds 1 februari
2007.
De
recente cijfers bevestigen het beeld dat zich vroeger reeds aftekende bij de
beginfase van de implementatie van het systeem. Als hoofdoorzaak van de geringe
toepassingsgraad werd en wordt nog steeds de administratieve complexiteit
aangehaald.
Ondertussen werd in de voorbije maanden verscheidene keren vergaderd met
een werkgroep van de nationale commissie Geneesheren-Ziekenfondsen over de
realisatie van het zorgtrajectproject, zoals het is opgenomen in punt 7 van het
nationaal akkoord geneesheren-ziekenfondsen. Het project, dat fundamenteel
gebaseerd is op de ondersteuning van de samenwerking tussen huisartsen en
geneesheren-specialisten, kan een alternatief bieden voor het huidige systeem
van de zachte echelonnering.
De
werkgroep van de NCGZ zal zich binnenkort dan ook buigen over een geïntegreerd
voorstel dat onder meer inhoudt dat de patiënten die zich inschrijven in een
zorgtraject, in een eerste fase patiënten met diabetes type 2 of
nierinsufficiëntie, daardoor naar analogie van het systeem van de zachte
echelonnering een vermindering van het remgeld op de consultatie van de
geneesheer-specialist zullen krijgen. De integratie van dat voorstel past in
een ruimer pakket van coherente maatregelen met een correcte honorering van de
huisarts en de geneesheer-specialisten die samenwerken in het zorgtraject van
hun patiënt, met naast de vermelde vermindering van het remgeld bij de
geneesheer-specialist nog andere voordelen voor de patiënten die ervoor moeten
zorgen dat de patiënten ertoe aangezet worden op een correcte manier een beroep
te doen op de hulp van een geneesheer-specialist, zonder dat dat voor die
geneesheer en voor de huisarts een bijkomende administratieve belasting
betekent.
02.04 Maggie De Block (Open Vld): Mevrouw de
voorzitter, mijnheer de minister, ik heb het gevoel dat wij het over
verschillende zaken hebben.
Ik heb
het over de zachte echelonnering, de manier om mensen door middel van het
globaal medisch dossier aan te zetten eerst naar de huisarts te gaan die hen,
indien nodig, verwijst naar een specialist om zodoende minder remgeld te
betalen.
Wat u in
conclusie zegt over de administratieve complexiteit is een waarheid als een
koe. Dat hebben wij ook van bij het begin gezegd.
In het
andere deel van uw antwoord, over de zorgtrajecten, heeft men het volgens mij
over iets heel anders. Ik kan mij vinden in zorgtrajecten. Wanneer het gaat
over diabetes type II-patiënten met veel complicaties of over nierinsufficiënte
patiënten is het inderdaad evident dat zij door de huisarts en door de
specialist worden verzorgd. Ik kan mij trouwens niet inbeelden dat een
nierinsufficiënte patiënt niet in een ziekenhuis terechtkan aangezien zij
meestal dialyseafhankelijk zijn. Zelfs als zij aan thuisdialyse doen, is dat
zo’n delicaat systeem dat er specialistische geneeskunde aan te pas moet komen.
Ik kan
mij vinden in het eerste deel van uw antwoord waarin u zegt dat wij iets moeten
doen aan de administratieve vereenvoudiging daaromtrent. Wij hadden het van bij
het begin al veel eenvoudiger kunnen maken, maar door omstandigheden buiten uw
en mijn wil om is dat niet gebeurd.
Als wij
het over zorgtrajecten hebben, hebben wij het volgens mij over een ander type
patiënten, over zwaardere pathologiepatiënten, over meer chronische patiënten.
Het lijkt mij evident dat die mensen pendelen tussen de specialist en de
huisarts. Voor die patiënten zijn er meestal geen problemen.
02.05 Koen Bultinck (Vlaams Belang): (…)
De
minister spreekt zonder concrete antwoorden te geven op de concrete vragen met
betrekking tot de evaluatie van de zachte echelonnering, over een werkgroep die
een aantal keren is bijeen geweest. Hij zegt dat die binnenkort tot een aantal
conclusies moet komen en hij verwijst naar de zorgtrajecten.
Wanneer
de minister zegt dat die werkgroep binnenkort met een aantal conclusies komt,
dan is de logische vraag wanneer binnenkort is. Het is altijd handig voor
parlementsleden dat ze ministers, ook al zijn het ministers van lopende zaken,
kunnen vastpinnen op een concrete datum. Wanneer komt die werkgroep met een
aantal logische conclusies?
Vandaag
praten wij naast mekaar. Enerzijds is er het debat over zorgtrajecten in het
kader van onder andere diabetes 2 en anderzijds is er de zachte echelonnering.
Dat lijken mij twee technisch verschillende zaken, op zijn zachtst uitgedrukt.
Ik zou
willen vragen aan een van de goede technische medewerkers die de minister
vandaag vergezellen, dat de teksten die geprepareerd werden, toch nog eens
opnieuw bekeken worden en of het mogelijk is aan de twee betrokken collega’s
schriftelijk een technischer correcter antwoord te geven dan hetgeen wij
vandaag gekregen hebben. Ik heb immers de indruk - ik wil zacht zijn, omdat u
relatief nieuw bent in de materie - dat wij voor een stuk naast mekaar praten
vandaag.
02.06
Didier Donfut, ministre: Madame la présidente, je remercie les deux parlementaires
pour leur intervention. L'ensemble de la commission est très sensible à ce
sujet et je crois qu’il est important de fournir des réponses précises aux
questions posées.
Un groupe de
travail a été mis en place et le parlement sera régulièrement informé de
l'évolution de ses réflexions. Étant donné, vous le savez, que j'ai repris ce
secteur récemment, je pense qu'il serait intéressant, tant pour vous que pour
moi, d'entendre les précisions de mon collaborateur, M. Perl, qui suit le
sujet d’une manière précise. Il pourra éclairer le débat et donner une échéance
en termes d’information et de calendrier.
02.07 Maggie De Block (Open Vld): Mijnheer de minister,
ik dank u voor uw antwoord. Indien u het liever schriftelijk doet, dan kan ik
daar ook akkoord mee gaan.
L'incident
est clos.
03 Vraag van mevrouw Maggie De Block aan de minister van Sociale
Zaken en Volksgezondheid, belast met Europese Zaken, over "de studie van
het Federaal Kenniscentrum voor de Gezondheidszorg over orthopedische
braces" (nr. 19)
03 Question de Mme Maggie De Block au ministre des Affaires
sociales et de la Santé publique, chargé des Affaires européennes, sur
"l'étude du Centre fédéral d'expertise des soins de santé sur les
orthèses" (n° 19)
03.01 Maggie De Block (Open Vld): Mevrouw de
voorzitter, mijnheer de minister, deze studie is in volle vakantietijd, in
juli, verschenen, maar is wel interessant omdat ze gaat over de orthopedische
braces, die meer en meer gebruikt worden. U weet dat men minder gips en meer
externe fixatoren en braces gebruikt om de patiënt zo mobiel mogelijk te houden
en zo weinig mogelijk immobiel. Dat is een hele evolutie in de orthopedie en is
zeer boeiend om te volgen.
De
prijzen zijn echter het heikele punt hier. Die braces zijn zeer duur, zo
blijkt. Gips is zeer goedkoop materiaal. Zelfs de waterbestendige gipsen zijn
heel goedkoop. De braces zijn echter zeer duur. Het is ook onnodig om te zeggen
dat men gelukkig slechts één keer hetzelfde been breekt en dus slechts één keer
dezelfde brace nodig heeft. Soms heeft men echter in de loop van de revalidatie
verschillende braces voor dezelfde fractuur nodig. Voor de patiënten is het dus
toch wel een dure aangelegenheid.
Nu blijkt
dat onze prijzen hoger zijn dan die voor gelijkaardige zaken in andere Europese
landen. Hierover is vroeger reeds heel wat te doen geweest. Wij moeten echter
toch, en die studie geeft waardevolle informatie, een betere verhouding tussen
de kostprijs en de effectiviteit van deze braces bereiken.
Zoals u
weet ben ik al jaren bekommerd om de herijking van de nomenclatuur. Ook hier
weer blijkt onze nomenclatuur hopeloos ouderwets te zijn. Er zijn in de
nomenclatuur te weinig voorwaarden opgenomen met betrekking tot eventuele
situaties waarin de terugbetaling gerechtvaardigd is.
Onnodig te wijzen op de verdoken kostprijzen voor de patiënten in deze
commissie waar het al gauw gaat over de twee snelheden. Bij de keuze tussen een
goedkope gips of een duurdere brace waarvan toch betere resultaten mogen
verwacht worden, kan niet iedereen de prijs van een brace betalen.
Samengevat
pleit het Kenniscentrum voor meer prijstransparantie, meer marktwerking, voor
een medisch gebruik op basis van werkzaamheid en veiligheid en een adequate
terugbetaling. Ik kan mij daar alleen maar in vinden.
Mijnheer
de minister, welke conclusies trekt u uit dat rapport?
Zal dat
aanleiding geven tot een meer evidence based benadering van de terugbetaling
van de orthopedische braces in de toekomst?
03.02 Minister Didier Donfut: Mevrouw De Block, het is correct dat het Federaal Kenniscentrum voor
de Gezondheidszorg een paar maanden geleden een studie heeft gepubliceerd in
verband met de kosteneffectiviteit van geprefabriceerde braces voor hals,
polsen en knieën. Deze studie onderzocht tevens de organisatorische aspecten
vanuit het standpunt van de Belgische ziekteverzekering. De terugbetaling door
de ziekteverzekering in de bestudeerde sector bedraagt ongeveer 10 miljoen euro
voor de geprefabriceerde kniebraces, 0,8 miljoen euro voor halsbraces
en 0,6 miljoen euro voor polsbraces.
De markt
voor deze braces is weinig transparant en de technisch-typologische
beschrijving waaraan deze braces moeten voldoen is sinds vijftien jaar niet
aangepast.
Ten
slotte zijn er geen beperkende voorwaarden verbonden aan de terugbetaling van
deze producten. De studie toont aan dat er weinig wetenschappelijke evidentie
bestaat voor het merendeel van de in België verkochte en terugbetaalde producten.
Tevens werd in een internationale vergelijking vastgesteld dat de prijzen in
België beduidend hoger zijn dan in het buitenland.
Ik meen
dat de resultaten van deze goed uitgewerkte studie de basis dienen te vormen
van een evaluatie door het RIZIV. Ik zal dan ook het RIZIV de opdracht geven om
de beleidsaanbevelingen te analyseren en voorstellen uit te werken met
betrekking tot het gebruik, de prijstransparantie en de prijsvorming van deze
braces.
Op uw
tweede vraag kan ik antwoorden dat een op evidentie gebaseerde benadering van
de terugbetaling van de orthopedische braces in deze evaluatie dient opgenomen
te worden.
03.03 Maggie De Block (Open Vld): Ik dank de minister
voor zijn antwoord. Ik denk dat dit inderdaad een nuttig onderzoek zou kunnen
zijn. Zo zullen wij misschien een beter zicht krijgen en kan dit ook uitgebreid
worden tot de andere gebruikte braces. Ik denk dan vooral aan fracturen van de
onderste ledematen. Ik weet niet of daar al cijfers over bestaan, maar daarvoor
worden ze ook zeer frequent gebruikt.
L'incident
est clos.
04 Vraag van mevrouw Maggie De Block aan de minister van Sociale
Zaken en Volksgezondheid, belast met Europese Zaken, over "de
terugbetaling van het vaccin tegen baarmoederhalskanker" (nr. 20)
04 Question de Mme Maggie De Block au ministre des Affaires
sociales et de la Santé publique, chargé des Affaires européennes, sur "le
remboursement du vaccin contre le cancer du col de l'utérus" (n° 20)
04.01 Maggie De Block (Open Vld): Mevrouw de
voorzitter, ik zal niet aan dit tempo blijven doorgaan, maar in de vakantie, na
de campagne, moet men een beetje afkicken. Ik heb wel degelijk last gehad van
afkickverschijnselen en daarom heb ik een aantal vragen opgesteld.
Dit
onderwerp heeft mij ook in het verleden al beziggehouden, namelijk de
terugbetaling van de vaccins tegen baarmoederhalskanker. Ik ben trouwens in
mijn praktijk zelf de meisjes aan het selecteren en contacteren voor wie het
van belang kan zijn en die er ook de juiste leeftijd voor hebben.
Mijn
vraag is een beetje achterhaald door de actualiteit, mijnheer de minister. Ik
ging ervan uit dat het vaccin wellicht beschikbaar zou zijn, maar intussen is
het al beschikbaar. Het wordt ook goed ontvangen door de moeders en de meisjes
zelf en het is wetenschappelijk bewezen dat het goede vaccins zijn.
Ik had
ook gevraagd hoe men de terugbetaling zou organiseren. Er is nu al een
terugbetaling, maar het gaat om een zeer versnipperde terugbetaling, vanaf 1
december voor de meisjes van 12 tot 15 jaar. Er is een terugbetaling door
verschillende ziekenfondsen in hun aanvullende verzekering waarbij er een opbod
is, maar dat is eigen aan de aanvullende verzekeringen. Er is een terugbetaling
door sommige gemeentebesturen, waarbij ik mij eigenlijk afvraag waarmee die
mensen bezig zijn. Er is dus op regionaal vlak een terugbetaling en recentelijk
ziet ook de nieuwe Vlaamse minister Vanackere een rol weggelegd voor de Centra
voor Leerlingenbegeleiding en het schooltoezicht om eventueel via dat kanaal een
vaccinatie te organiseren.
Ik zou
graag hebben dat er een eenvoudige terugbetaling is, dat het ook voor de
patiënten duidelijk is op welke leeftijd welke terugbetaling mogelijk is en dat
het ook in het vaccinatieschema wordt opgenomen.
Ik refereer daarvoor aan de terugbetaling bij hepatitis B. Dat is ook
lang een wirwar geweest. U weet, het gaat om drie vaccins: na 0 maanden, 2
maanden en 6 maanden. Het is belangrijk dat men die herhalingen ook uitvoert.
Ik zie bijvoorbeeld het CLB dat niet te kunnen doen. Het CLB zal die kinderen
geen drie keer per schooljaar zien. Daar komen vakanties tussen, daar komt van
alles tussen. Men moet dat toch opvolgen, want anders gaat de effectieve
werking van het vaccin verloren. Dat is dus een probleem.
Bij
hepatitis was dat ook zo: de herhalingsvaccins werden meestal niet meer gedaan.
Dat is ook de verantwoordelijkheid van de huisarts. Die kan de patiënt beter
bereiken en beter verwittigen. Die kan dan zeggen, zoals mijn tandarts in de
lieve briefjes die hij mij stuurt, dat het alweer zes maanden geleden is. Wij
mogen dat ook doen. Wij mogen ook laten weten: “Kom uw herhalingsvaccinatie
halen of uw levenslange immuniteit is tenietgedaan”.
Nu is er
een versnippering van middelen en van bevoegdheden. Ik zou graag hebben dat er
een mooie regeling van komt, dat er een opname in ons vaccinatieschema komt. Ik
heb het gezegd: voor hepatitis B was het gemakkelijk, want daarvoor waren
er de WGO-richtlijnen. Hier zijn nog geen richtlijnen voor. Het is natuurlijk
niet alleen in de Westerse landen een probleem maar ook in de
ontwikkelingslanden.
Kortom,
ik zou u willen vragen of u in uw functie iets kunt doen om door het bos de
bomen te laten zien aan de patiëntjes en aan hun ouders die de terugbetaling
vragen?
04.02 Minister Didier Donfut: Mevrouw de voorzitter, mevrouw
De Block, ik heb vanochtend een nieuw, meer gedetailleerd antwoord
gekregen dat echter in het Frans is opgesteld.
La procédure
qui a conduit au remboursement du Gardasil, à savoir le vaccin préventif contre
le virus responsable du développement du cancer du col de l’utérus, n’est pas
celle utilisée pour les vaccins figurant dans le calendrier de vaccination
obligatoire.
La firme
productrice a, en effet, introduit une demande de remboursement du Gardasil
comme spécialité pharmaceutique. Cette demande a suivi son cours de manière
régulière jusqu’à la décision favorable de la commission de remboursement des
spécialités pharmaceutiques. Le remboursement des spécialités pharmaceutiques
étant une compétence exclusive du niveau fédéral, aucune procédure de
consultation n’a été menée avec les Communautés.
La question
de savoir si cette vaccination rentre dans le champ de compétences des
Communautés et doit, de ce fait, entrer dans le champ de la procédure assez
longue suivie pour la vaccination obligatoire, me semble assez secondaire au
regard du fait que ce vaccin est désormais disponible pour l’ensemble de la
population concernée par ce lourd fléau.
Il importe
peu aux patientes de connaître la source du remboursement de leur vaccin et, en
l’occurrence, l’efficacité prime sur les considérations institutionnelles. S’il
faut tirer une conclusion à ce niveau, j’estime que la procédure suivie permet
de mesurer l’efficacité d’une politique menée à l’échelle du royaume, qui
ne se dilue pas dans des procédures de concertation, ce qui, au vu du consensus
entourant le remboursement de ce vaccin, n’aurait fait que retarder son
remboursement.
Par contre,
il est évident que les Communautés ont un rôle important à jouer à côté de
celui rempli par les mutuelles sur la diffusion de cette information via les
organismes en charge de la prévention. S’agissant de la question de
l’enregistrement de ces données, étant donné que le remboursement du Gardasil
figure parmi les données collectées via Pharmanet, il devrait être rapidement
possible de disposer de données assez fines sur le sujet.
04.03 Maggie De Block (Open Vld): Mijnheer de minister,
over dit onderwerp is het laatste woord nog niet gezegd.
Mevrouw
de voorzitter, als u het mij permitteert, ik kom op deze vraag nog terug bij uw
eventuele opvolger.
Het incident
is gesloten.
05 Question de M. Georges Gilkinet au ministre des Affaires
sociales et de la Santé publique, chargé des Affaires européennes, sur
"l'absence d'accord du gouvernement sur le budget 2008 de l'INAMI"
(n° 119)
05 Vraag van de heer Georges Gilkinet aan de minister van Sociale Zaken
en Volksgezondheid, belast met Europese Zaken, over "het ontbreken van een
akkoord binnen de regering over de RIZIV-begroting 2008" (nr. 119)
05.01
Georges Gilkinet (Ecolo-Groen!): Madame la présidente, monsieur le ministre, j'ai déposé
cette question vendredi et depuis une partie des réponses a été apportée dans
la presse. Ma question est donc quelque peu dépassée par l'actualité mais je me
propose de la maintenir en la synthétisant et en l'adaptant légèrement. Je vous
remercie d'avance des réponses que vous pourrez apporter.
Les
organismes assureurs et les représentants des prestataires de soins réunis au
sein du comité d'assurances de l'INAMI se sont mis d'accord il y a quelques
semaines sur la proposition de budget INAMI pour l'année 2008 à formuler à
l'attention du gouvernement sortant et de son conseil général. Lors de la
réunion de ce vendredi 12 octobre, le gouvernement en affaires courantes n'a pu
s'accorder sur cette proposition de budget, laissant dans l'expectative le
conseil général de l'INAMI et tous les acteurs de la santé quant aux moyens qui
seraient les leurs pour mener la politique de santé en 2008. On parlait même de
versements de douzièmes provisoires sans application de la norme de croissance
alors que les besoins sont criants, comme on l'a déjà constaté dans cette
commission.
Monsieur le
ministre, vous conviendrez que cette situation n'était idéale ni pour les
prestataires ni pour les patients. Il fallait donc trouver une solution au plus
tôt. Cette solution a été trouvée ce lundi lors du conseil général de l'INAMI
et vous l'avez détaillée dans la presse. Pouvez-vous me dire ce qui coinçait
initialement vendredi dernier? Qu'est-ce qui a permis un déblocage lundi?
Qu'est-ce qui garantit que les 380 millions d'euros qui selon vos
déclarations sont mis en réserve seront effectivement affectés en 2008 aux
secteurs dépendant de l'INAMI et selon quelle procédure ceux-ci seront-ils
répartis entre les différents secteurs de l'INAMI?
05.02
Didier Donfut, ministre: Madame la présidente, cher collègue, effectivement,
cette question d'actualité est intéressante et sans doute utile pour avoir
pleinement connaissance de ce qui s’est décidé hier au conseil général de
l’INAMI. Je ne vais pas détailler l’ensemble de la décision puisque cela figure
largement dans la presse aujourd’hui.
Les deux
points les plus intéressants de votre question me semblent être les éléments de
blocage et ce qui va concrètement se passer demain. Vendredi, malgré les
demandes formulées par le comité des assurances, nous avons eu un blocage au
gouvernement qui ne portait pas sur la partie de répartition immédiate. Vous
savez que 720 millions d’euros de marge étaient disponibles en termes de
politique nouvelle, au-delà des estimations techniques par rapport au budget
2008 dans lequel on intègre la norme de croissance de 4,5% qui représente une
norme légale et l’inflation.
Le premier
ministre et moi-même avions signalé aux membres de l’INAMI qu’il fallait une
certaine forme de prudence par rapport à l’affectation totale de ces
720 millions. Nous avons écrit un courrier aux acteurs. Cependant, nous
n’allons pas refuser que, dès maintenant, on puisse déjà – sur la base des
propositions du secteur en accord avec le gouvernement – engager un premier
train de mesures nécessaires, urgentes et indispensables. Tel qu’annoncé, cela
a fait l’objet d’un paquet de 340 millions d’euros, qui en réalité s’élève
à 380 millions d’euros puisque 40 millions sont puisés dans les
prestations techniques, notamment pour les hôpitaux. Ce n’est pas sur ce point
que portait le problème du gouvernement. Nous devions encore avoir des
discussions pour nous mettre d’accord sur la position à défendre au conseil
général. Il fallait prendre en considération tant les demandes des médecins que
celles des hôpitaux.
Le blocage
portait sur le solde disponible, à savoir les 380 millions d’euros que
vous évoquez dans votre question. Le gouvernement en affaires courantes
estimait inopportun de faire marche arrière par rapport aux perspectives
d’engagement budgétaire en faveur du secteur des soins de santé. C’est en
tout cas ce que pense mon département.
Nous pensons
que les 4,5% correspondent à la base légale et nous nous engageons sur cette
base. Nous souhaitions que le solde de 380 millions soit affecté au budget
global de l’INAMI pour 2008. Bien entendu cet argent n'est pas encore engagé
car il faut attendre la mise en place du nouveau gouvernement.
Tout le
débat a porté sur ce point. En effet, les partenaires libéraux du gouvernement
préféraient faire preuve de prudence en termes budgétaires. Ils souhaitaient
laisser au prochain gouvernement le soin de revoir éventuellement la norme de
4,5% et de la faire passer à 2,8% ou 2,5% selon le calcul qui devrait
intervenir dans les négociations actuelles en vue de la formation du prochain
gouvernement.
Le PS et le
sp.a ont estimé que ce problème relevait du prochain gouvernement et qu’aujourd'hui,
il fallait appliquer la base légale de 4,5%. C’est donc ce point qui a fait
blocage.
Mme Laruelle
a déclaré dans les médias que, selon le MR, il fallait mettre cette matière de
côté et attendre la formation du prochain gouvernement.
Je présume
que, durant le week-end, chacun a réfléchi à l’importance de la question et aux
enjeux des soins de santé au niveau de la société. De nombreux scientifiques
ont lancé des appels; on connaît aussi les besoins de la population. Tous les
acteurs du secteur réclament des interventions importantes sur base des 4,5% de
croissance.
Hier matin,
juste avant la tenue du conseil général de l’INAMI, le gouvernement a pu
dégager une position unanime: affecter l’ensemble des 720 millions au budget de
l’INAMI et engager, pour l'instant, 340 millions pour l’application des
mesures dont vous avez pu prendre connaissance notamment en lisant la presse.
Pour la
suite, le président du conseil général de l’INAMI a déjà annoncé qu’il
reconvoquerait le conseil général et le nouveau gouvernement qui aura été mis
en place, avant la fin de l’année, pour déterminer la manière dont sera affecté
le solde de 380 millions. Il est bien entendu que cela se fera en
respectant les objectifs prioritaires de l'INAMI en matière de soins de santé.
Telle est en tout cas la volonté du conseil général de l’INAMI et du ministère
que je représente.
Tout cela
est-il bétonné? Le budget INAMI sera-t-il augmenté de 720 millions l'an
prochain? Oui, si on respecte les accords conclus au conseil général et la position
que j'ai défendue. Non, si, demain, le prochain gouvernement demande
explicitement au conseil général de l'INAMI de revoir sa copie et de revoter un
nouveau budget 2008 avec une norme de croissance qui ne serait plus de 4,5%.
Mais ce sera de la responsabilité politique du nouveau gouvernement.
En tant que
gouvernement sortant, nous souhaitions rester, puisque nous sommes en affaires
courantes, dans la logique budgétaire actuelle, sur base de la loi actuelle.
Je ne peux
préjuger des politiques qui seront menées en matière de soins de santé par le
prochain gouvernement.
05.03
Georges Gilkinet (Ecolo-Groen!): Monsieur le ministre, je vous remercie pour ces
éclaircissements, qui ne sont que partiellement rassurants. En effet, la norme
de croissance future est au centre des discussions pour la formation d’un
gouvernement, dont vous préjugez qu’il sera formé avant la fin de l’année.
Par
ailleurs, cette question, tout comme celle du financement des pensions et leur
liaison au bien-être, est une question à laquelle nous serons particulièrement
attentifs. Car, si une solution provisoire a pu être trouvée, nous sommes
encore inquiets pour le futur et nous ne manquerons pas de continuer à
interpeller vos successeurs à ce sujet.
Het incident
is gesloten.
La présidente:
Je rappelle à M. Flahaux que sa
suggestion concernant la proposition de loi sur la suppression de la cotisation
de solidarité sera transmise au président qui prendra une décision dès la
semaine prochaine. Mesdames et messieurs, à l'issue de ma toute première
présidence de commission, je vous remercie.
La réunion
publique de commission est levée à 10.40 heures.
De openbare
commissievergadering wordt gesloten om 10.40 uur.