Commission de l'Intérieur, des Affaires générales
et de la Fonction publique |
Commissie voor de Binnenlandse Zaken, de algemene
Zaken en het Openbaar Ambt |
du mercredi 24 janvier 2007 Après-midi ______ |
van woensdag 24 januari
2007 Namiddag ______ |
La séance
est ouverte à 15.31 heures et présidée par M. Joseph Arens.
De
vergadering wordt geopend om 15.31 uur en voorgezeten door de heer
Joseph Arens.
01 Vraag van de heer Servais Verherstraeten aan de minister van
Ambtenarenzaken, Maatschappelijke Integratie, Grootstedenbeleid en Gelijke
Kansen over "de wettelijke erkenning van de voortgezette opleidingen voor
militairen en burgers binnen het departement
Landsverdediging" (nr. 13546)
01 Question de M. Servais Verherstraeten au ministre de la
Fonction publique, de l'Intégration sociale, de la Politique des grandes villes
et de l'Égalité des chances sur "la reconnaissance légale des formations
continues pour les militaires et les civils au sein du département de la
Défense" (n° 13546)
01.01 Servais Verherstraeten (CD&V): Mijnheer de
voorzitter, mijnheer de minister, de voortgezette opleidingen als bijvoorbeeld
van militair administrateur in het departement Landsverdediging, namelijk de
derde en vierde cyclus, zijn geen gecertificeerde opleidingen. Militairen die
wensen over te stappen naar een ambtenarenstatuut worden niet ingeschaald in
een wervingsgraad, maar nemen hun anciënniteit mee en worden aangeworven in een
ambtenarengraad. Daardoor worden militairen die een voortgezette opleiding
hebben genoten, anders ingeschaald dan militairen die dat niet hebben gehad.
Aangezien deze bijkomende vormingen ook voor burgerambtenaren toegankelijk
zijn, ontstaat er een onderscheid tussen gewezen militaire ambtenaren en
burgerambtenaren.
Mijnheer
de minister, bent u van mening dat de voortgezette opleidingen moeten worden
gecertificeerd? Zo nee, waarom niet? In bevestigend geval, welk tijdspad ziet u
hier dan voor? Welke bijkomende carrièremogelijkheden en andere voordelen
zouden de ambtenaren hierdoor kunnen krijgen?
01.02 Christian Dupont,
ministre: Mijnheer de voorzitter, het niveau van de hogere opleidingen voor
militair administrateur wordt door iedereen erkend en door ons in het bijzonder
allerminst onderschat. Daarvan zijn wij dermate overtuigd, dat wij hen
al in aanmerking hebben genomen in het kader van de overdracht van militaire
naar federale administraties.
Président: André Frédéric.
Voorzitter: André Frédéric.
01.03 Servais
Verherstraeten (CD&V):
Mijnheer de minister, ik dank u voor uw antwoord. Ik meen dat door het gegeven
dat men de Copernicushervorming bij Defensie als het ware niet heeft gekregen,
wellicht voor een stuk die problematiek heeft gecreëerd. Eigenlijk is dat niet
goed, daar wij toch de bedoeling hadden, onder meer met Copernicus, om de
ambtenaren te stimuleren en wat mobiliteit, intern, te hebben, en nieuwe
ervaringen op te doen en de expertise mee te nemen naar andere departementen,
enzovoort.
Ik
betreur het onderscheid maar ik reken erop, mijnheer de minister, dat het
overleg resultaten oplevert. Dat ik deze vraag stel, mijnheer de minister,
toont aan dat de situatie op het terrein als onbillijk en onrechtvaardig wordt
ervaren. En ik begrijp dat.
Het incident
is gesloten.
L'incident
est clos.
Le président: La question n° 13756 de
Mme Dierickx est retirée.
Il nous
reste à remercier le ministre de la Fonction publique et à attendre l'arrivée
du ministre de l'Intérieur.
02 Question de M. Joseph Arens au vice-premier ministre et
ministre de l'Intérieur sur "la nomination des membres de l'ex-police
judiciaire" (n° 13759)
02 Vraag van de heer Joseph Arens aan de vice-eerste minister
en minister van Binnenlandse Zaken over "de benoeming van de leden van de
voormalige gerechtelijke politie" (nr. 13759)
02.01 Joseph Arens (cdH): Monsieur le président, monsieur le
ministre, voici quelques mois, je vous interrogeais sur le nombre de membres de
l'ex-PJ qui devaient être nommés commissaires, ceci avec effet rétroactif pour
les années 2005 et 2006. Vous m'aviez alors répondu que ces nominations
allaient intervenir en novembre et décembre 2006, avec pour conséquence le
commissionnement au grade de commissaire de cadres moyens de l'ex-BSR.
Pouvez-vous
me dire aujourd'hui combien de membres de l'ex-PJ ont été nommés et combien de
membres de l'ex-BSR ont été ainsi commissionnés?
02.02 Patrick Dewael, ministre: Monsieur le président, cher
collègue, pour 2005, ce sont 2 membres de l'ex-gendarmerie,
45 membres de l'ex-PJ ainsi que 1 membre de l'ex-police communale qui
ont été nommés au grade de commissaire au sein du pilier judiciaire de la
police fédérale. Ces nominations ont pris effet à la date du 1er avril
2005.
Le
dossier relatif aux nominations 2006 vient de m'être transmis. Il prévoit la
nomination de 10 membres de l'ex-gendarmerie, de 50 membres de
l'ex-PJ et de 1 membre de l'ex-police communale. Ces nominations
interviendront dans les prochains jours, avec effet au 1er avril 2006.
Quant à
la procédure de commissionnement du personnel concerné en 2005 et 2006, elle
pourra débuter dès que l'arrêté royal qui définit les règles de priorité entre
les candidats au commissionnement de complément aura été publié. Cela suppose
toutefois que la procédure de contrôle administratif et budgétaire soit
terminée.
02.03 Joseph Arens (cdH): Monsieur le président, je remercie le
ministre pour cette réponse. Le dossier évolue donc normalement et les
nominations ont lieu presque comme prévu, avec seulement quelques semaines de
retard pour certaines.
Het incident
is gesloten.
03 Question de M. Joseph Arens au vice-premier ministre et ministre
de l'Intérieur sur "l'absence du nom du conjoint sur la carte d'identité
électronique" (n° 13760)
03 Vraag van de heer Joseph Arens aan de vice-eerste minister en
minister van Binnenlandse Zaken over "het niet-vermelden van de naam van
de echtgeno(o)t(e) op de elektronische
identiteitskaart" (nr. 13760)
03.01 Joseph Arens (cdH): Monsieur le président, monsieur le
ministre, j'ai été contacté par plusieurs citoyens qui se plaignent du fait que
le nom du conjoint ne figure plus sur le nouveau document. En effet, cette
absence pose certains problèmes.
Ma question
est très simple.
Ne
pourrait-on envisager de donner instruction aux administrations communales de
mentionner, sur le document séparé, l'identité du conjoint lorsque le
propriétaire de la carte d'identité le demande expressément? Cela réglerait
certains problèmes, notamment pour récupérer les envois recommandés à
La Poste car celle-ci refuse parfois de remettre l'envoi si le nom du conjoint
ne figure pas sur sa propre carte d'identité.
03.02 Patrick Dewael, ministre: Monsieur le président, les
informations à caractère personnel qui apparaissent sur la carte d'identité
électronique ont été fixées par l'arrêté royal du 25 mars 2003. En
effet, parmi ces informations ne figure pas le nom du conjoint.
Le document
imprimé qui reprend les informations mentionnées sur la carte d'identité
électronique et qui est délivré par la commune à la demande du citoyen ne
mentionne que les informations figurant sur la carte d'identité.
Toutefois,
les candidates qui souhaitent, pour les élections, en application de l'article
116, §4 du Code électoral, que leur nom de jeune fille soit précédé du nom de
leur époux peuvent avoir recours au document intitulé "mon dossier",
qui reprend les informations mentionnées au registre de la population. Il
mentionnera également le nom de l'époux. Ce document peut être obtenu via le
website du Registre national au moyen de la carte d'identité électronique ou
peut être demandé à la commune. Le carnet de mariage peut aussi fournir les
informations requises.
03.03 Joseph Arens (cdH): Il faudrait avoir son carnet de
mariage avec soi pour régler ces problèmes.
Si j'ai bien
compris votre réponse, c'est par une proposition ou un projet de loi qu'il faut
modifier cela.
03.04 Patrick Dewael, ministre: C'est un élément. Cela dit, il
faut toujours avoir avec soi son livret de mariage. N'êtes-vous pas de mon
avis?
Le président: En tout cas, pour ceux qui
en possèdent encore un!
03.05 Joseph Arens (cdH): Cela complique quand même la vie des
citoyens. Sur l'ancienne carte d'identité, le nom du conjoint était mentionné.
Le problème était donc réglé d'office. Avec la nouvelle carte d'identité,
certains problèmes peuvent parfois se poser.
Het incident
is gesloten.
04 Question de M. Joseph Arens au vice-premier ministre et ministre
de l'Intérieur sur "la coexistence de deux systèmes informatiques au sein
de la police intégrée" (n° 13807)
04 Vraag van de heer Joseph Arens aan de vice-eerste minister en
minister van Binnenlandse Zaken over "het naast elkaar bestaan van twee
informaticasystemen bij de geïntegreerde politie" (nr. 13807)
04.01 Joseph Arens (cdH): Monsieur le ministre, dans une
circulaire datée du 4 octobre 2000 relative au système informatique
unique, il est mentionné que pour une parfaite intégration de la nouvelle
police, il est impératif que les informations entre les deux niveaux circulent
correctement. Pour atteindre cet objectif, tant la police fédérale que la
police locale devaient être dotées de systèmes informatiques fiables et
intégrés. La circulaire parle ensuite du système informatisé ISLP dont tous les
corps de la future police locale devraient pouvoir être équipés. Il s'agit d'un
système intégré de saisie unique qui permet de récupérer les données dans les
différents modules.
Sur le plan
opérationnel, la zone devra garantir la fonction de contrôle de la qualité des
données transmises du local vers le fédéral. Les données contenues dans la banque
de données seront ainsi transférées du local vers le fédéral. Ce transfert
constitue au demeurant une obligation pour laquelle des sanctions sont prévues.
Le système FEEDIS, successeur du système POLIS-Brigade de l'ex-gendarmerie et
du registre PV de l'ex-police judiciaire auprès des parquets constitue quant à
lui le système informatique de référence pour la police fédérale. La police
fédérale utilise actuellement la version 2.4.2 de FEEDIS (à savoir la deuxième
version de la quatrième édition de la version 2). Il me revient à ce sujet que
FEEDIS est un produit non abouti posant des problèmes aux agents de terrain, en
raison de ses incessantes modifications.
Les deux
systèmes, ISLP et FEEDIS, alimentent de façon identique et avec les mêmes
données, la banque de données nationale générale (BNG). Néanmoins, le système
informatique FEEDIS poserait de nombreux problèmes d'utilisation en raison des
différentes versions qui ont circulé. Le système ISLP semble quant à lui ne pas
avoir posé de problème. Il serait également plus simple d'utilisation que le
système FEEDIS.
Monsieur le
ministre, comment se fait-il que deux systèmes informatiques coexistent au sein
de la police intégrée? Pourquoi n'a-t-on pas utilisé ISLP dans les composantes
fédérales comme dans les composantes locales? Le coût n'est-il pas par
conséquent deux fois plus important pour la police intégrée? En effet, on
aurait pu réaliser des économies sur la mise à jour des deux systèmes, sur les
formations à l'utilisation des deux systèmes.
Il y a quelque
temps, vous aviez annoncé qu'un nouveau système informatique nommé POL Office
deviendrait le système commun à la police fédérale et à la police locale. Qu'en
est-il du surcoût pour les zones quand le matériel ne répondra pas aux normes
de POL Office?
Ce surcoût
sera-t-il pris en charge par le fédéral? Un nouveau cursus de formation
devra-t-il être relancé pour ce nouveau programme afin de familiariser les
utilisateurs, tant au sein de la composante fédérale qu'au sein de la
composante locale? Combien tout cela coûtera-t-il?
04.02 Patrick Dewael, ministre: Monsieur le président, mon cher
collègue, avant la création de la police intégrée et structurée à deux niveaux,
les services de police communale et de gendarmerie disposaient chacun
d'applications informatiques policières spécifiques. La police communale
utilisait le système Projet Informatisation Police (PIP) géré par la police
générale du Royaume, tandis que la gendarmerie avait entamé le développement du
projet Feeding Information System (FEEDIS).
Lors des
travaux préparatoires à la réforme des services de police, le groupe de
travail 4, chargé de définir la stratégie en matière de télématique
policière, s'est engagé à préserver les investissements déjà consentis tant au
niveau local que fédéral. Il s'est également engagé à fournir des
fonctionnalités identiques aux deux niveaux de police. En effet, comme chaque
application utilise des composantes techniques spécifiques, financées avant la
réforme des polices mais toujours pas amorties, la solution retenue a consisté
à les maintenir toutes les deux et à les placer dans une architecture
télématique cohérente de la police intégrée.
C'est la
raison pour laquelle l'Integrated System for the Local Police (ISLP) qui
constitue une extension du système PIP a été diffusé dans toutes les zones de
police et que le système FEEDIS a été diffusé dans les services de la police
fédérale. La conclusion du groupe de travail 4 a été transcrite dans des
circulaires ministérielles qui précisent notamment que le projet ISLP constitue
l'outil informatique de référence uniquement pour les zones de police.
En
conclusion, il est utile de rappeler que ces deux systèmes répondent
effectivement aux mêmes exigences fonctionnelles policières. Leur coexistence
ne nuit en rien à l'efficacité du fonctionnement des services de police et
offre une transparence totale du point de vue fonctionnel. Elle se révèle la
seule solution financièrement acceptable, et ce en raison des investissements
budgétaires importants qui ont été consentis juste avant la mise en place des
deux niveaux de police intégrée et qui n'ont pas encore été amortis à l'heure
actuelle.
La nouvelle
plate-forme informatique POL Office permettra de réaliser des économies
d'échelle et est en cours de développement au profit des deux niveaux de la
police intégrée. Le premier module fonctionnel POL Office Circulation
ainsi que les éléments techniques seront livrés aux zones de police à partir de
la mi-2007 grâce à un financement du Fonds de la sécurité routière. Les modules
fonctionnels seront développés et diffusés progressivement en fonction des
priorités.
Le contenu
de la formation relative à ces nouvelles applications sera identique pour les
deux niveaux de la police intégrée, permettant ainsi une économie notoire.
04.03 Joseph Arens (cdH): Monsieur le ministre, je vous
remercie pour cette réponse. Si j'ai bien compris, c'est le Fonds de la
sécurité routière qui financera une partie de cette opération, mais la
formation au niveau local doit être assurée par un financement zonal?
04.04 Patrick Dewael, ministre: Oui, c'est cela.
04.05 Joseph Arens (cdH): Merci, monsieur le ministre.
Het incident
is gesloten.
L'incident
est clos.
Le président: Nous attendons l'arrivée de
Mme Belhouari pour sa question n° 13810. M. Ducarme a
reporté sa question n° 13821. Mme Galant a reporté sa
question n° 13824. Je n'ai pas de nouvelles de M. Michel. Comme
Mmes Lanjri et Nagy sont présentes, je propose de passer directement au
point 12 de l'agenda.
- mevrouw Nahima Lanjri aan de vice-eerste minister en
minister van Binnenlandse Zaken over "de regularisatie van vreemdelingen
en het onderzoek naar illegalen" (nr. 13841)
- mevrouw Marie Nagy aan de vice-eerste minister en
minister van Binnenlandse Zaken over "het onderzoek waarmee criminologe
Marion van San werd belast" (nr. 13851)
- Mme Nahima Lanjri au vice-premier ministre et ministre de
l'Intérieur sur "la régularisation des étrangers et l'enquête relative aux
illégaux" (n° 13841)
- Mme Marie Nagy au vice-premier ministre et ministre de
l'Intérieur sur "l'enquête demandée à la criminologue
Marion van San" (n° 13851)
05.01 Nahima
Lanjri (CD&V):
Mijnheer de minister, wij hebben dit weekend of maandag via de media een aantal
cijfers kunnen vernemen in verband met het aantal regularisaties in 2006.
Volgens dat artikel zouden 10.207 personen worden geregulariseerd. Of door dit
regularisatiebeleid het aantal illegalen stijgt, is onbekend. Maar u zou
sowieso, hebt u in het weekend aangekondigd, een onderzoek laten uitvoeren,
samen met minister Keulen, door Marion van San naar de manier waarop
illegalen hier zijn en waarom ze naar hier komen en hoe zij hier leven, aan de
hand van een staal van een 700-tal mensen.
Mijn
vragen zijn dus de volgende. Kloppen de cijfers die door de kranten werden
weergegeven? Met andere woorden, ik zou toch bevestiging willen krijgen over
het aantal dossiers dat vorig jaar werd geregulariseerd, omgezet in het aantal
personen ook. Hoeveel mensen, hoeveel dossiers? Hoeveel van de achterstand werd
ondertussen behandeld en bijvoorbeeld verworpen en hoeveel wachten er eigenlijk
nog? Hoeveel dossiers of hoeveel mensen die de regularisatie aanvragen, zijn op
dit ogenblik nog niet behandeld?
Hoeveel
personen werden er vorig jaar gerepatrieerd en uitgewezen?
In
verband met mijn eerste vraag zou ik ook willen vernemen of er een groot
verschil is met 2005 voor het aantal mensen dat werd geregulariseerd.
Hoeveel
mensen werden er vorig jaar gerepatrieerd en uitgewezen? Hoeveel dossiers
wachten er nog op behandeling? Ik herinner mij dat tijdens de bespreking in
juni er een stand van zaken was van ongeveer 24.000 of 25.000 dossiers. Ik lees
nu de cijfers in de krant. Dat wil toch zeggen dat er al een groot deel van die
dossiers is afgehandeld. Het zou kunnen dat er intussen ook veel nieuwe
dossiers zijn bijgekomen. Dus, hoeveel dossiers liggen er nu nog te wachten op
een antwoord?
Mijnheer
de minister, wat is de stand van zaken omtrent de behandeling van dossiers in
het raam van de normale asielprocedure? Hoeveel wachten er daar nog, zowel bij
het Commissariaat-Generaal voor de Vluchtelingen, als bij de Vaste
Beroepscommissie en de Raad van State, zeker na de hervormingen die
al voor een deel zijn doorgevoerd? Dat wat de beroepsprocedure betreft.
Zal de
nieuwe procedure op 1 april van start gaan? Wanneer verwacht u dat de
achterstand bij de verschillende instanties, dus bij het Commissariaat-Generaal
voor de Vluchtelingen, de Vaste Beroepscommissie en de Raad van State, zal
zijn weggewerkt?
Inzake de
nieuwe procedure, is het nog altijd de bedoeling van de regering om die op
1 april van start te laten gaan? Wat is er nog nodig inzake de
uitvoeringsbesluiten? Welke zullen er nog worden uitgewerkt?
Wat is de precieze inhoud van de opdracht die werd gegeven aan
Marion van San en co in verband met het onderzoek naar illegalen? Wat
beoogt u met dat onderzoek?
Welke
informatie hebt u nodig om het beleid op het goede spoor te kunnen zetten? In
welke mate zal dat onderzoek representatief zijn voor de levensomstandigheden
van de overige illegalen? Het onderzoek heeft immers maar betrekking op een
beperkt aantal mensen, met name 750. Hoe zorgen de onderzoekers ervoor dat het
onderzoek representatief is?
Ten
slotte, kadert het onderzoek dat we in België zullen voeren, in een groter
Europees onderzoek? Weet u of er in andere Europese landen dergelijke
onderzoeken lopen, op stapel zijn of werden uitgevoerd?
05.02 Marie Nagy (ECOLO): Monsieur le président, en
1999, le ministre de la Justice de l'époque, Marc Verwilghen, avait déjà
demandé une enquête sur la criminalité des étrangers en Belgique. L'enquête
avait été menée par la criminologue Marion van San. L'enquête établissait,
par nationalité, des spécificités en matière de délinquance. Cette enquête du
ministre Verwilghen fut présentée non comme une étude portant sur la
problématique socio-économique de la délinquance juvénile mais comme un
problème culturel et ethnique. Cette enquête n'a jamais été publiée, étant
donné les critiques très fortes qui avaient été émises par la communauté
scientifique belge.
Je m'étonne
donc de lire dans la presse que vous avez décidé, avec votre collègue le
ministre Keulen, de faire appel aujourd'hui à la même criminologue pour
effectuer un rapport concernant les sans-papiers.
Monsieur le
ministre, pourriez-vous me dire de manière précise ce qui lui a été demandé?
Quel est le cahier de charges? Quel est le but de ce rapport? Pour quelles
raisons avez-vous choisi cette personne pour effectuer ce rapport?
Est-il vrai,
comme la presse le relate, que c'est elle qui vous a proposé cette recherche?
Une
relecture de ce rapport par d'autres scientifiques est-elle prévue?
Par
ailleurs, quel est le lien entre cette recherche, que vous avez commanditée, et
celle qui est réalisée par les universités belges de Bruxelles, Liège, Leuven
et Anvers et qui porte sur la question des nouvelles migrations, y compris la
question des sans-papiers, pour connaître leur situation socio-économique, leur
pays d'origine, leurs conditions de vie, leur situation en Belgique?
Quel est le
lien entre cette recherche financée par la Politique scientifique et la
recherche que vous avez commanditée?
05.03 Minister Patrick Dewael: Mijnheer de voorzitter, collega's, tal van
cijfergegevens worden mij gevraagd. Ik zal mij beperken tot de voornaamste.
Indien meer gedetailleerde informatie is gewenst, kan dit altijd schriftelijk
verlopen.
Ten
eerste, in 2006 werden 5.392 verzoeken om tot een verblijf gemachtigd te worden
om humanitaire redenen ingewilligd. Het gaat hier om 10.207 personen. Alle
dossiers werden behandeld op basis van de criteria die ik reeds verschillende
malen heb toegelicht. Men moet een onderscheid maken tussen het aantal dossiers
en het aantal personen die hieronder ressorteren.
Ten
tweede, in 2006 werden in totaal 8.914 gedwongen verwijderingen doorgevoerd.
Daarnaast maakten 2.810 vreemdelingen gebruik van de mogelijkheid om vrijwillig
terug te keren via de Internationale organisatie voor Migratie.
Ten
derde, DVZ, de Dienst Vreemdelingenzaken, diende bij het begin van dit jaar nog
23.504 aanvragen tot het verkrijgen van een verblijfsmachtiging op humanitaire
gronden, te behandelen. De achterstand blijft verder dalen. Momenteel wordt een
speciale inhaaloperatie doorgevoerd wat betreft de aanvragers die een medisch
motief inroepen.
Ten
vierde, op dit ogenblik zijn er bij het commissariaat-generaal nog 6.128
dossiers in behandeling. De commissaris-generaal moet ervoor zorgen dat bij de
start van de nieuwe asielprocedure de achterstand herleid is tot de normale
werkvoorraad. Dit is een 3000 dossiers. Ik herinner u eraan dat de achterstand
bij het commissariaat-generaal bij mijn aantreden nog bijna 30.000 dossiers
bedroeg.
Bij de
vaste beroepscommissie moeten nog 11.213 dossiers worden verwerkt. Aangezien
dat rechtscollege in afwachting van het operationeel worden van de Raad voor
Vreemdelingenbetwistingen reeds gebruik kan maken van de snellere schriftelijke
procedure, verwacht ik ook een daling van deze achterstand.
Ten vijfde, er kan niet worden voorspeld wanneer de asielachterstand
helemaal zal zijn weggewerkt. Dat is ook mee afhankelijk van onzekere factoren,
zoals de toekomstige instroom van asielzoekers. De nieuwe procedure bevat hoe
dan ook minder mogelijkheden om de procedure onrechtmatig te rekken en dit zal
een verdere aangroei voorkomen. Overigens kunnen niet alle dossiers die nog in
behandeling zijn, worden beschouwd als achterstand. Immers, een deel daarvan
moet worden beschouwd als het gewone “werkvolume” van de asielinstanties.
Ik kom
dan tot het zesde element. De streefdatum voor de inwerkingtreding van de
nieuwe asielprocedure is en blijft april van dit jaar. Een aantal
uitvoeringsbesluiten werd al genomen. Ik verwijs ook naar het KB dat de
filterprocedure bij de Raad van State regelt en ook het
procedurereglement voor de nieuwe Raad voor Vreemdelingenbetwistingen. Dat is
allemaal in orde. Het KB in uitvoering van de vreemdelingenwet is in
voorbereiding. Er wordt met andere woorden hard gewerkt aan de implementatie van
de gewijzigde wetgeving.
Septième
élément. J'ai chargé un centre de recherche à Rotterdam, le RISBO (Rotterdams
Instituut voor Sociaal-wetenschappelijk Beleidsonderzoek) de la réalisation
d'une étude sur la nouvelle immigration en Belgique, sous la direction du
professeur Engbersen qui a une renommée internationale en la matière.
L'objectif de l'étude consiste principalement à déterminer l'ampleur de
l'immigration illégale en Belgique, de sonder les motivations profondes qui
conduisent des étrangers à immigrer clandestinement en Belgique, à établir
comment ils parviennent à subvenir à leurs besoins et à quels services ils ont
accès en Belgique.
En fonction
des résultats de l'étude, des pistes seront examinées pour formuler une réponse
politique appropriée à l'illégalité et pour déterminer, le cas échéant, les
mesures préventives qu'il convient de prendre pour lutter contre ce phénomène.
Certains
pays européens ont déjà effectué une étude sur l'immigration clandestine.
L'étude fera dès lors une comparaison entre la situation en Belgique et la
situation dans les autres pays européens. Lorsque cette étude sera clôturée,
les chercheurs sont bien sûr libres d'exprimer leur vision sur le rapport
d'enquête. Pour ma part, je ne compte pas prendre d'initiative pour recueillir
l'avis d'autres chercheurs.
Tot daar
mijn elementen van antwoord.
05.04 Nahima Lanjri (CD&V): Mijnheer de minister,
ik stel vast dat het aantal hangende aanvragen tot regularisatie op dit
ogenblik 23.504 bedraagt. Met andere woorden, het cijfer is ongeveer gelijk
gebleven aan het cijfer van juni. Misschien kan de conclusie worden getrokken
dat in de tussentijd, aangezien u er ondertussen 10.207 mensen hebt
geregulariseerd en een groot aantal anderen afgewezen, de aangroei even groot
was? Maandelijks komen er dus heel wat dossiers bij. Ik moet dat toch afleiden
uit de cijfers die vandaag voorliggen.
Ten
tweede, ik weet nog niet wat uw bedoeling is. U hebt het onderzoek enigszins
gesitueerd. Kadert het in een Europees onderzoek? Kunt u dit nog
verduidelijken?
05.05
Minister Patrick Dewael: Neen, het kadert niet in een Europees
onderzoek.
05.06 Nahima Lanjri (CD&V): Wat is uw intentie
met de resultaten? Welke richting wilt u daarmee uitgaan? Waarvoor hebt u dat
nodig?
05.07 Minister Patrick Dewael: De bedoeling van het onderzoek is
duidelijk.
05.08 Nahima Lanjri (CD&V): U gaat die
omstandigheden na, en?
05.09 Minister Patrick Dewael: Wat is nu precies uw vraag? De bedoeling
van het onderzoek is nauwkeurig geëxpliciteerd. Het stond ook heel duidelijk
omschreven in een krant. Ik wacht nu op de resultaten van het onderzoek. Ik
denk dat elk beleid nood heeft aan aangepast wetenschappelijk onderzoek.
Wanneer het rapport is afgeleverd, komt het op tafel en dan is het de bedoeling
dat wij het beleidsmatig kunnen implementeren. Ik begrijp uw vraag niet goed.
Wat wilt u nu weten? Vooraleer de resultaten bekend zijn, ga ik niets zeggen in
welke richting dan ook. Ik wacht op de resultaten van het onderzoek. De
vraagstelling in het onderzoek is duidelijk. Er zijn verschillende vragen
gesteld en die worden onderzocht.
05.10 Nahima Lanjri (CD&V): We zullen de
resultaten afwachten.
05.11 Minister
Patrick Dewael: Vooraleer een rapport op tafel komt, is het
natuurlijk altijd boeiend om te weten wat de conclusies zijn. Ik kan dat nu
echter nog niet zeggen. Het kadert echter niet in een Europees initiatief. Het
is een initiatief van ons land. U weet net zo goed als ik dat ons land wat dat
betreft weinig of geen wetenschappelijk onderzoek heeft laten verrichten.
05.12 Nahima Lanjri (CD&V): Mijnheer de minister,
ik kan niet in een glazen bol kijken en u ook niet. Ik wil zeker niet
vooruitlopen op de resultaten van het onderzoek. Mijn vraag was wel waarvoor u
het onderzoek nodig hebt. Welke informatie wenst u nog te verzamelen om uw
beleid verder richting te geven?
05.13 Minister Patrick Dewael: Mijn antwoord daarop is dat er in ons land
weinig of geen aangepast of gespecificeerd wetenschappelijk onderzoek heeft
plaatsgehad over die kwestie. Dat valt ook op in internationale vergelijkingen.
België heeft wat dat betreft eigenlijk een gebrek aan wetenschappelijke
studies. De studie kan daartoe een bijdrage leveren. Voor mij is dat geen
bijbel of een alleszaligmakende waarheid, maar ik vind het wel een belangrijk
element in de discussie. Als men wil weten waarover men praat, geldt de regel:
meten is weten. Dat geldt voor alles.
05.14 Nahima Lanjri (CD&V): Ik zal afronden,
mijnheer de voorzitter. Blijkbaar zijn er in andere landen wel gelijkaardige
onderzoeken, want u vergelijkt ons land met andere landen.
05.15 Marie Nagy (ECOLO): Monsieur le ministre, je voudrais
vous poser une question complémentaire. Pouvez-vous me dire à quelle date est
tombée la décision de réaliser cette nouvelle étude?
05.16 Patrick Dewael, ministre: Fin octobre 2004, madame Nagy.
05.17 Marie Nagy (ECOLO): Par conséquent, le 25 février 2005,
quand le Conseil des ministres a décidé d'approuver le programme de recherches
"Société et avenir" dont l'un des thèmes est la multiculturalité et
la cohésion sociale, cette étude était déjà commanditée. Or un élément
important de ce programme porte sur "la connaissance de la composition des
vagues d'immigration et leur profil, identifier et étudier les processus de
formation et la perception que se font les migrants du pays d'immigration,
l'immigration clandestine y compris les intermédiaires et les filières, le mode
de vie des clandestins, les politiques nécessaires pour prévenir ce type
d'immigration et réussir leur intégration".
En fait,
vous approuvez en tant que ministre deux recherches parallèles sur le même
sujet et vous dites aujourd'hui qu'il n'y a pas assez d'études alors que du
côté de la Politique scientifique, il existe une étude portant sur l'ensemble
de la Belgique. L'étude que vous avez demandée ne se base que sur des
recherches menées à Bruxelles, à Gand et à Anvers, ce qui est loin d'être toute
la Belgique. Je tenais à souligner cette incohérence. Je n'ose imaginer que ces
décisions ont été prises sans connaissance du double emploi par le ministre de
l'Intérieur. Ce n'est pas un bon exemple de gestion saine des deniers publics.
05.18 Patrick Dewael, ministre: Vos propos me paraissent être une
interprétation large de ma réponse et consistent en une nouvelle question. Je
vous invite donc à me poser une autre question lors de la prochaine réunion.
Monsieur le
président, je crois avoir donné tous les éléments de réponse à la question de
Mme Nagy.
Pour ce qui
est d'une autre enquête ou d'une autre recherche, je constate avec vous que
celle que j'ai ordonnée était la première.
05.19 Marie Nagy (ECOLO): Oui, mais en ce qui concerne la
deuxième décision, vous y étiez puisqu'il s'agit d'une décision du Conseil des
ministres. J'ose espérer que, dans ce cas, vous agissez en connaissance de
cause. Par conséquent, vous n'avez émis aucune objection en signalant qu'une
enquête était déjà en cours.
05.20 Patrick Dewael, ministre: Mais vous dites que la deuxième
enquête va à l'encontre de la première!
05.21 Marie Nagy (ECOLO): Non, elle porte en partie sur le
même sujet, selon les descriptions que vous avez communiquées.
05.22 Patrick Dewael, ministre: Je propose que vous posiez une
autre question sur la deuxième enquête.
Je vous
communiquerai alors les éléments sur lesquels cette deuxième enquête se fonde.
Het incident
is gesloten.
06 Question de M. Olivier Chastel au vice-premier ministre et
ministre de l'Intérieur sur "l'adaptation de la norme minimale de la zone
de police de Charleroi" (n° 13842)
06 Vraag van de heer Olivier Chastel aan de vice-eerste minister en
minister van Binnenlandse Zaken over "de aanpassing van de minimumnorm
voor de politiezone Charleroi" (nr. 13842)
06.01 Olivier Chastel (MR): Monsieur le président, monsieur le
ministre, le manque d'effectifs de la zone de police de Charleroi fait l'objet
de nombreuses préoccupations et est au centre de nombreux débats depuis
plusieurs mois – au sein même de cette commission d'ailleurs.
Malgré le
renfort d'une quarantaine de policiers fédéraux (20 en octobre dernier et 20
dans le courant du mois prochain), la zone de police de Charleroi souffre
toujours d'un cruel déficit en personnel. Il lui manque 156 policiers pour que
la police de Charleroi puisse effectuer correctement ses missions.
Par un
courrier du 17 octobre 2006, les autorités locales avaient sollicité
M. le ministre afin d'obtenir une adaptation vers le haut de la norme minimale
pour la zone de police de Charleroi. La norme minimale fixée pour cette zone
est de 883 effectifs, or le nombre actuel y est légèrement supérieur. La zone
n'est donc pas prioritaire dans les plans de mobilité.
En revoyant
cette norme à la hausse et en la fixant au cadre organique, comme demandé par
les autorités locales à 1.058 policiers, la zone de police de Charleroi
pourrait bénéficier d'une priorité quant aux détachements de policiers
fédéraux, ainsi que d'un sursis de départ de maximum six mois en cas de
mobilité de l'un de ses agents vers une zone non prioritaire. Cette adaptation
de la norme minimale permet ainsi de pallier en partie ce manque d'effectifs.
La zone concernée serait en effet prioritaire pour toute une série d'axes
particuliers.
Charleroi
n'est d'ailleurs pas la seule zone de grandes villes à demander cette
adaptation de la norme minimale. Je crois savoir que Gand et Anvers ont rentré
les mêmes demandes.
Monsieur le
ministre, je voudrais connaître l'évolution de la révision de la norme de la
zone de police de Charleroi?
Etes-vous en
mesure de nous indiquer maintenant, avec davantage de précisions, le moment
pendant lequel vous, votre collègue de la Justice et le premier ministre
pourrez venir à Charleroi pour faire le point en matière de sécurité?
Le président: Sur Charleroi aussi,
monsieur le ministre, nous avons chaque semaine des épisodes!
06.02 Patrick Dewael, ministre: Il y a Mme Nagy et Charleroi!
Le président: Ce sont les deux feuilletons
à la mode!
06.03 Patrick Dewael, ministre: J'ignore s'il y a une relation
causale entre les deux!
Mme Nagy est
partie. Il n'est donc pas correct de tenir de tels propos.
Cela dit,
pour revenir à la question qui nous occupe, monsieur le président, je suis de
très près l'évolution des phénomènes de sécurité à Charleroi.
Il est vrai
que l'actualité de ces derniers mois interpelle les autorités. J'ai déjà eu
l'occasion de rappeler ici les contacts qui ont été pris et les accords qui ont
été passés avec les autorités locales de Charleroi au cours de l'été 2006 afin
de les appuyer dans leurs initiatives. Je pense tout particulièrement au plan
Charles Quint.
La zone de
police de Charleroi a sollicité une augmentation de sa norme minimale
d'effectifs pour les raisons que vous évoquez dans votre question.
J'ai
interpellé les quatre autres grandes zones du pays afin de connaître leurs
intentions quant à une éventuelle augmentation de la norme minimale. Les zones
d'Anvers et de Gand sont également demanderesses de l'adaptation de leur norme
minimale pour pouvoir recruter des inspecteurs supplémentaires.
J'ai fait
préparer un projet d'arrêté royal qui procède à ces trois adaptations de
l'arrêté royal du 5 septembre 2001 fixant ces normes minimales. La
norme minimale de Charleroi va ainsi passer de 863 à 1.058 unités. Ce projet
d'arrêté royal sera soumis au chef de l'État dans les jours prochains. Pour ma
part je l'ai signé, hier.
Par
ailleurs, je puis vous confirmer que le Roi est au courant de la situation bien
que je ne lui en ai pas parlé au cours de la réception qui a eu lieu tout à
l'heure.
06.04 Olivier Chastel (MR): Il est au courant de la situation à
Charleroi?
06.05 Patrick Dewael, ministre: Bien évidemment, il la suit au
quotidien.
Comme nous
l'avons fait par le passé, le premier ministre, le ministre de la Justice et
moi-même, irons dans les prochaines semaines à Charleroi pour discuter concrètement
des problèmes de sécurité avec les autorités locales.
Voilà les
éléments de ma réponse, adaptés à l'actualité de ces derniers jours.
Le président: Monsieur Chastel,
souhaitez-vous réagir?
06.06 Olivier Chastel (MR): Monsieur le président, je suis
satisfait de voir que le ministre de l'Intérieur, après avoir analysé la
situation des grandes villes et leurs demandes, ait répondu positivement aux
trois grandes villes qui sollicitaient de sa part l'augmentation de la norme
minimale. Chacune des villes avait ses raisons. Charleroi n'avait pas forcément
les moyens financiers pour engager de nouveaux policiers mais cette
augmentation de la norme va la rendre – comme je le disais dans ma question –
prioritaire par rapport à la mobilité et à l'engagement de nouveaux policiers
en formation. C'est une première grande et bonne nouvelle cette année-ci pour
la zone de police de Charleroi. Au nom de l'autorité communale de Charleroi, je
remercie le ministre de l'Intérieur
Het incident
is gesloten.
Le président: La question n° 13810 de
Mme Belhouari est reportée. N'ayant pas eu de nouvelles de M. Charles
Michel, je reporte donc automatiquement sa question n° 13831.
La réunion
publique de commission est levée à 16.28 heures.
De openbare
commissievergadering wordt gesloten om 16.28 uur.